La maison Karibu est une initiative du mouvement de la société civile sénégalaise Y en a Marre. Le nom Karibu, qui veut dire « bienvenue » en Swahili, la langue la plus parlée en Afrique, résume en lui seul toute la philosophie de ce programme totalement trempée dans la tradition d’hospitalité sénégalaise. Il se veut un lieu d’accueil et de répit pour militants en détresse.  Mais bien plus qu’un simple lieu d’accueil et d’hébergement, il s’agit de tout un programme global intégré qui vise à faire de l’exil, non pas un tombeau des convictions et autres ambitions de l’exilé, mais plutôt un tremplin qui lui permette de se ressourcer, de se réinventer et pouvoir poursuivre toujours ses idéaux, même étant loin de sa résidence habituelle.[…]

Femicide in Kenya is not just a crisis, it is a declaration of societal failure. Behind every woman murdered is a trail of state inaction, broken systems, and silenced voices. While the government’s response has long been characterized by neglect and indifference, communities and movements like Kongamano La Mapinduzi (KLM) are stepping in where institutions have failed. Today, the most urgent strategy in confronting this epidemic is community-led rapid response, a grassroots-based approach of protection, documentation, and resistance. […]

With a median age of just 16.9 years, Uganda’s population is only second to Niger as the youngest in the world. Despite this enormous demographic advantage, Uganda’s youths have mostly been absent from driving the destiny of their country. According to the country’s leading independent newspaper, as of 2020, the average age in the national cabinet was 65 years! On top of that, the president – who is seeking re-election – is now 80 years old, and has been in power since 1986. However, holding political office is not the only place young Ugandans are inconspicuous. […]

Que faire de notre colère face aux injustices ? Comment résister face à notre colère ? Comment la mobiliser pour transformer le monde et les choses autour de nous ? Les premiers pas vers un monde meilleur : Un pas en arrière…

La violence en République Démocratique du Congo est toujours belle et bien présente. Nombre de personnes comme Matumo sont victimes de répressions. La violence ne fait que générer des conséquences lourdes dans une société : Viols, Morts, Blessés, Déchirements entre les ethnies et les communautés. La violence divise et sème la haine entre les peuples.

Nous sommes tous capables de violence que l’on le veuille ou non. Tout comme nous sommes tous capables de bienveillance. Pourquoi on n’utiliserait pas la violence ? Jusqu’où la violence est-elle efficace ? Les limites de la violence : L’adversaire a plus de moyens de violence que nous.

Il existe plusieurs exemples de lutte non-violente

Exemple #1 : Leymah Gbowee (Afrique-Libéria)

Femme Libérienne, mère de famille et travailleuse sociale. 2002-2003 : Organisation avec des milliers d’autres femmes musulmanes comme chrétiennes pour protester contre une guerre qui durait depuis plus de 10 ans

Occupation des rues, Prières, Chansons, Grève du sexe. Le président a finit par s’asseoir aux tables des négociations

Les questions principales abordées sur la lutte non-violente dans cette vidéos sont : Comment agir dans la lutte non-violente au quotidien? Comment demander la redevabilité grâce à l’action non-violente?

Cas #1 : Un marché

Comment sont gérées les taxes récoltées auprès des marchandes ? Les citoyens déclarent qu’il n’y a pas de poubelle alors que les marchandes payent les taxes pour assainir le marché